En tant que professionnel du bien-être / de Reiki, nous nous devons d’avoir un vocabulaire en plus d’une posture, complètement approprié à notre pratique. Nous ne pratiquons pas d’acte médical et nous devons utiliser un vocabulaire non médical, hors nomenclature de la médecine conventionnelle. Nous ne devons ni interférer ni retarder la prise en charge et le parcours de santé d’une personne. Nous conseillons toujours d’inciter notre client d’avoir un suivi médical, car nous connaissons nos limites et notre champ d’expertise.
Nous préconisons le vocabulaire d’accompagnement du « mieux-être », et évitons de parler de soin, traitement, guérison... Nous utilisons un vocabulaire clair, pour définir le Reiki, sa pratique, ses bienfaits. Nous invitons tous les praticiens professionnels à dire que nous effectuons une pratique énergétique pour accompagner nos clients. Évitons les termes suivants : « je soigne, je guéris » et restons dans la pratique Reiki si nous voulons être pris en considération par les instances publiques à hauteur des techniques que nous pratiquons.
Voici des extraits d’un dossier de l’Ordre National des Médecins intitulé "Les Pratiques de Soins Non Conventionnelles et leurs dérives" très intéressant à lire. (PSNC)
• Les termes « médecine » ou « docteur » n’étant pas suffisamment encadrés ou protégés, ils sont utilisés de façon volontairement ambiguë par ces non-professionnels de santé. L’Ordre pense qu’une nécessaire modification de la loi doit être opérée pour remédier à ces ambiguïtés
• Il faut revisiter le code ROME et mettre en place des procédures de contrôle des formations professionnelles. Pour cela l’Ordre, en appui de la MIVILUDES et de la DRIEETS, a pour ambition d’agir pour informer que certaines de ces formations peuvent entraîner une situation d’exercice illégal de la médecine pour les personnes en recherche de reconversion professionnelle qui seraient attirées par ces métiers…
C’est ce que le ministère de la Santé rappelle : « […] les patients doivent être informés de l’utilité possible de certaines pratiques proposées à titre complémentaire de la médecine conventionnelle, mais également mis en garde contre le risque de perte de chance lié à certaines d’entre elles :
• Certaines de ces pratiques de soins non conventionnelles ont certainement une efficacité sur certains symptômes, mais celle-ci est insuffisamment ou non démontrée ;
• Certaines pratiques n’ont pas d’efficacité sur certains symptômes mais ne présentent pas non plus de risques pour la santé. Elles peuvent cependant entraîner une perte de chance pour les personnes qui seraient atteintes de maladies graves en retardant la prise en charge du malade en médecine conventionnelle. La présentation de la pratique au malade, qui se sent démuni face à la gravité de sa maladie, peut entraîner un tel retard;
• D’autres, enfin, peuvent avoir des effets nocifs pour la santé et doivent donc être systématiquement proscrites. Les effets indésirables des PSNC sont mal, voire non connus, car il n’y a pas eu d’évaluation rigoureuse préalable à leur emploi, et peu ou pas de données publiées. De plus, les professionnels qui utilisent ces PSNC ne déclarent pas ces effets indésirables. »
Seul article qui mentionne le Reiki : « Contexte sociétal : L’isolement des confinements, la guerre, l’inflation sur un fond d’éco-anxiété permanent, tout cela a sans aucun doute fait des ravages en plongeant certaines personnes dans des états d’anxiété, de dépression et de stress post-traumatique. Les pratiques de bien-être sont alors présentées comme une solution. Méditation, hypnose, sophrologie, naturopathie, reiki, etc. : beaucoup de moyens et de disciplines proposent de reprendre le contrôle de sa vie et de calmer stress et anxiété.
Dans ce dossier, l’Ordre National des Médecins rappelle la définition du mot Soin: « Actes de thérapeutique qui visent à la santé de quelqu’un, de son corps. » « Actes par lesquels on veille au bien-être de quelqu’un. » , mais aussi du mot Bien-être : « État agréable résultant de la satisfaction des besoins du corps et du calme de l’esprit. »
Comme vous le remarquez, ils reprochent aussi l’absence de cadre pour toutes les FORMATIONS « BIEN-ÊTRE » ET DÉVELOPPEMENT PERSONNEL, l’absence d’évaluation et de contrôle ;
C’est pourquoi l’Union Reiki met en place un cursus de praticiens professionnels sous forme de blocs de compétences.
Le PSC1 est obligatoire à tout praticien professionnel de Reiki (1ers secours)
Un bloc de compétences 1ers secours en santé mentale (2 jours) ou notions de psychologie validées par l’Union Reiki
Un bloc de compétences sur les 5 principes validées par l’Union Reiki
Un bloc de compétences techniques de notre pratique Reiki validées par l’Union Reiki
Un bloc de compétences de physiologie-anatomie validées par l’Union Reiki
Un bloc de compétences Écoute et communication validées par l’Union Reiki
Un bloc de compétences les bases de la pratique professionnelle validées par l’Union Reiki
Vous souhaitez nous contacter à ce sujet, envoyez-nous un mail et nous vous rappellerons.
L’équipe d ‘Union Reiki